La Monnaie de Paris présente, pour la première fois à Paris, une grande rétrospective consacrée à Maurits Cornelis Escher
Jusqu’au 1er mars 2026, la Monnaie de Paris accueille cette exposition exceptionnelle présentant les œuvres d’un artiste fascinant qui sut transformer la géométrie et les mathématiques en art, à travers ses pavages, ses illusions optiques et ses mondes impossibles, mais qui dans un premier temps était aussi un remarquable paysagiste.
Un rendez-vous à ne pas manquer – destiné aux petits et grands, comme aux passionnés d’art ou de sciences – pour (re)découvrir l’œuvre unique de cet artiste hors du commun. L’exposition, placée sous la direction de Jean-Hubert Martin et Federico Giudiceandrea, deux des plus grands experts de l’artiste, plonge les visiteurs dans l’univers imaginaire et étonnant de ce génie néerlandais. Né en 1898 à Leeuwarden, aux Pays-Bas, M.C. Escher a su conjuguer art et mathématiques dans un langage unique, capable de défier la perception visuelle et de fasciner des générations entières. Célèbre pour ses créations visionnaires, ses paradoxes visuels et ses géométries infinies, il est devenu au fil du temps une icône, non seulement pour les mathématiciens et les chercheurs, mais aussi pour le grand public, conquis par la force visuelle et conceptuelle de son œuvre.
Les créations de M.C. Escher représentent une véritable rencontre entre univers scientifique et création artistique, influençant profondément le monde du design, du graphisme, du cinéma, de la publicité, de la mode ou encore de la musique encore aujourd’hui. Son univers, ses pavages, ses métamorphoses, ses illusions, ses architectures impossibles et ses paradoxes géomatiques prendront vie dans les espaces de La Monnaie de Paris pour émerveiller et surprendre.
L’exposition retrace l’ensemble du parcours de l’artiste néerlandais, de ses débuts à ses voyages en Italie et dans la Méditerranée, au travers des différentes techniques qu’il a explorées tout au long de sa vie, faisant de lui un artiste si singulier.
Des pavages aux métamorphoses, des surfaces réfléchissantes aux paradoxes géométriques, l’exposition présente les chefs-œuvres les plus célèbres de l’artiste, telles que Main avec sphère réfléchissante (1935), Jour et Nuit (1938), Métamorphose II (1939-1940), Etoiles (1948), Pelure (1955), la série sur La Division régulière du plan (1958), Belvédère (1958), Limit du Cercle III (1959), Monter et Descendre (1960), Cascade (1961) ou encore sa dernière xylographie Serpents (1969) et bien d’autres encore.

Exposition “M.C. Escher” / Photo : © Arthemisia
En complément des œuvres les plus emblématiques de M.C. Escher, l’exposition propose de nombreux contenus pédagogiques, des vidéos et plusieurs installations interactives permettant aux adultes comme aux enfants de mieux comprendre son travail et sa progression vers l’abstraction, les perspectives impossibles et les représentations étonnantes, parfois déconcertantes, de mondes en apparence plausibles mais inconciliables avec le réel que M.C. Escher a su réunir dans une dimension artistique inédite.
Parmi ces installations ludiques et immersives, on retrouve l’Installation de Relativité, qui bouleverse les notions de taille et d’échelle ; l’Installation des Miroirs, où les visiteurs voient leur reflet se répéter à l’infini ; l’Installation Optique, qui joue avec la perception ; ainsi que la célèbre installation Spherical Selfie, inspirée d’une des œuvres les plus emblématiques de l’artiste.
Cette exposition est présentée par Arthemisia – principal producteur italien de grandes expositions d’art – et Fever, plateforme de référence pour la découverte de divertissement et de loisirs, en collaboration avec la M.C. Escher Foundation, la M.C. Escher Heritage et Maurits.
Commissaires : Jean-Hubert Martin et Federico Giudiceandrea
[Source : communiqué de presse]
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